Chronologie des femmes en informatique

La chronologie des femmes dans l'informatique retrace de façon chronologique les réalisations des femmes dans le domaine de l'informatique.


Sommaire :

1842 - 1849 - 1875 - 1893 - 1916 - 1918 - 1920 - 1921 - 1926 - 1935 - 1939 - 1940 - 1941 - 1942 - 1943 - 1945 - 1946 - 1947 - 1948 - 1949 - 1950 - 1951 - 1952 - 1954 - 1955 - 1956 - 1958 - 1959 - 1961 - 1962 - 1964 - 1965 - 1966 - 1968 - 1969 - 1970 - 1971 - 1972 - 1973 - 1974 - 1975 - 1976 - 1978 - 1979 - 1980 - 1982 - 1983 - 1984 - 1985 - 1986 - 1987 - 1988 - 1989 - 1990 - 1992 - 1993 - 1994 - 1995 - 1996 - 1997 - 1998 - 1999 - 2000 - 2001 - 2002 - 2003 - 2004 - 2005 - 2006 - 2007 - 2008 - 2009 - 2010 - 2011 - 2012 - 2013 - 2014 - 2015 - 2016 - 2017 - 2018 - 2019

  • Pionnières en informatique
  • Ada Lovelace
    Ada Lovelace
  • Betty Holberton
    Betty Holberton
  • Katherine Johnson
    Katherine Johnson
  • Radia Perlman
    Radia Perlman
  • Audrey Tang
    Audrey Tang
  • Sue Black
    Sue Black

XVIIIe siècle

1757

  • Drapeau de la France Nicole-Reine Etable de la Brière Lepaute participe au calcul pour déterminer le prochain passage de la comète de Halley[1],[2],[3].

XIXe siècle

1842

  • Drapeau du Royaume-Uni Ada Lovelace analyse la machine de Charles Babbage. Elle est considérée comme la première personne à écrire un programme informatique[4],[5].

1849

1875

  • Drapeau des États-Unis Anna Winlock rejoint les Harvard Computers, un groupe de femmes embauchées comme calculatrices pour établir les tables astronomiques à Harvard[7].

1892

  • Drapeau de la France L’Observatoire de Paris et celui de Toulouse créent un bureau des dames, pour établir la Carte du ciel initié en 1887. Il est placé sous la direction de Dorothea Klumpke, première femme à avoir obtenu un doctorat en astronomie[8].

1893

  • Drapeau des États-Unis Henrietta Swan Leavitt rejoint les Harvard Computers. Elle découvre la relation entre la luminosité des étoiles variables, des céphéides et le rythme de leurs pulsations. Cette découverte permet aux astronomes de mesurer la distance entre la Terre et les autres galaxies[9].

XXe siècle

1916

1918

  • Drapeau des États-Unis De nombreuses femmes sont embauchées comme calculatrices pour des calculs balistiques à Washington, D.C[11]. La responsable de ce groupe de calculatrices est Elizabeth Webb Wilson[12].

1920

1921

  • Drapeau des États-Unis Edith Clarke dépose un brevet pour un calculateur graphique qui permet de résoudre les problèmes de transmission de lignes électriques[15].

1926

  • Drapeau de l'Allemagne Grete Hermann définit les bases du système de calcul formel. Sa thèse de doctorat, intitulée The Question of Finitely Many Steps in Polynomial Ideal Theory est publiée dans les annales de mathématiques[16].

1935

1939

1940

  • Drapeau des États-Unis Des femmes américaines sont recrutées pour faire des calculs balistiques et programmer des ordinateurs pendant la Seconde Guerre mondiale. Vers 1943-1945, ces femmes utilisent un analyseur différentiel dans le sous-sol de la Moore School of Electrical Engineering (en) pour accélérer leurs calculs. Phyllis Fox dirige un analyseur différentiel avec des équations différentielles qui sont les spécifications de son programme[19].

1941

1942

Bletchley girls

1943

Jean Bartik and Frances Spence setting up the ENIAC.
Jean Bartik et Frances Spence programmant l'ENIAC.

1945

1946

1947

  • Drapeau des États-Unis Irma Wyman travaille sur un projet de recherche sur les trajectoires de missile au Willow Run Research Center (en). Les calculs sont faits mécaniquement. En 1947–48, elle visite un service identique à la Navale, le Proving Ground dans lequel Grace Hopper travaille sur des problèmes similaires et met au point un prototype de programme pour l'ordinateur Mark II[32].

1948

1949

  • Drapeau des États-Unis Grace Hopper est une officière de l'United States Navy et une des premières programmeuses du Harvard Mark I. Elle est surnommée la mère du Cobol. Elle développe le premier compilateur qu'elle met au point sur un ordinateur électronique, le A-0. Elle est la première à employer le terme déboguer, en référence à un insecte bloqué dans l'ordinateur Harvard Mark II, ce qui avait provoqué une erreur d'exécution du programme[34].
  • Drapeau des États-Unis Evelyn Boyd Granville est la seconde africaine-américaine à obtenir un doctorat en mathématiques. De 1956 à 1960, elle travaille pour IBM sur deux projets de la NASA le programme Vanguard et le programme Mercury, pour placer le premier satellite en orbite autour de la terre[35].
  • Drapeau du Canada Le 6 mai, l'ordinateur EDSAC exécute les programmes écrit et mis au point par Beatrice Worsley. C'est le premier ordinateur à exécuter un programme enregistré[36].

1950

Stephanie "Steve" Shirley
  • Drapeau des États-Unis Ida Rhodes est une des pionnières dans l'analyse des systèmes de programmation. Elle conçoit le langage C-10 au début des années 1950 pour l'UNIVAC I, qui a été utilisé pour calculer le recensement de la population[37].
  • Drapeau du Royaume-Uni Kathleen Booth crée le langage de bas-niveau l'assembleur, directement exécutable par les machines[38].

1951

1952

  • Drapeau du Royaume-Uni Mary Coombs est la première programmeuse et la première femme à travailler sur l'ordinateur LEO I. Il s'agit du premier ordinateur pour les entreprises. Elle va travailler sur les générations II et III de LEO[40].
  • Drapeau de la Hongrie Klára Dán von Neumann, née en Hongrie est une des pionnières sur le projet MANIAC I[41].
  • Drapeau du Canada Beatrice Worsley, termine son doctorat en informatique et devient la première femme à obtenir ce diplôme[42].

1954

  • Drapeau des États-UnisDrapeau d’Israël Thelma Estrin travaille sur le premier ordinateur israélien, le WEIZAC (en)[43].

1955

  • Drapeau des États-Unis Annie Easley commence à travailler pour la NACA[44].
  • Drapeau de l'URSS Kateryna Yushchenko développe et met le premier langage de haut niveau nommé APL pour Address programming language[38].

1956

1958

  • Drapeau des États-Unis Les calculs orbitaux pour le satellite américain Explorer 1 sont mis au point par une équipe entièrement féminine au sein du Jet Propulsion Laboratory de la NASA. Les calculs mécaniques sont complétés par des calculs logarithmiques effectués à la main[46],[47].
  • Drapeau des États-Unis Grace Hopper met au point le langage de programmation FLOWMATIC[22].
  • Drapeau des États-Unis Le 5 mai, le Centre de recherche Langley de la NASA met fin à la politique de ségrégation en fermant le West Area Computers, composé de femmes calculatrices africaines-américaines[48].
  • Drapeau du Royaume-Uni Kathleen Booth publie un ouvrage sur la programmation des ordinateurs britanniques APEXC (en) (All Purpose Electronic X-Ray Computer)[49].

1959

  • Drapeau de la France Alice Recoque, ingénieure spécialisée en architecture des systèmes met au point l’un des premiers mini-ordinateurs français : le CAB500[50].
  • Drapeau des États-Unis Mary K. Hawes crée un groupe de travail pour définir les spécifications d'un langage de programmation pour l'entreprise. Cela aboutit au langage COBOL[30].

1961

  • Drapeau de la France Marion Créhange est la première personne à soutenir une thèse en informatique en France, à l'Université de Nancy[51].
  • Drapeau des États-Unis Dana Ulery est la première ingénieure au Jet Propulsion Laboratory. Elle développe un système en temps réel sur les machines de l'aviation nord-américaine Autonetics Recomp II (en), un processeur de 40 bits, une mémoire de 4 ko[52].

1962

  • Drapeau des États-Unis Jean E. Sammet développe le langage de programmation FORMAC. Elle est également la première à catégoriser les langages de programmation en 1969. Elle est la première femme présidente de l'Association for Computing Machinery en 1974[53].
  • Drapeau du Royaume-Uni Stephanie Shirley fonde la compagnie UK software company F.I. Elle souhaite créer des opportunités de travail pour les femmes ayant des personnes à charge. Elle emploie principalement des femmes (97%). Elle adopte le prénom masculin Steve pensant que cela pourrait l'aider dans le monde des affaires dominé par les hommes. De 1989 à 1990, elle est présidente de la British Computer Society. En 1985, elle reçoit Recognition of Information Technology Award[54].

1964

1965

1966

  • Drapeau des États-Unis De 1965 à 1975, Margaret R. Fox (en) est cheffe de service de l'Office of Computer Information, qui dépend de l'Institute for Computer Science and Technology de NBS. Elle est aussi investie au sein de l'Association for Computing Machinery (ACM). Elle est la première secrétaire de l'American Federation of Information Processing Societies (en)(AFIPS)[60].

1968

  • Drapeau de la France Vera Molnár est une pionnière du Computer art (en). Elle met au point des algorithmes de dessin à partir de formes géométriques[réf. nécessaire].

1969

Margaret Hamilton se tenant auprès du code du logiciel de navigation qu'elle et son équipe ont produit pour le programme Apollo.
  • Drapeau des États-Unis Jean E.Sammet publie Programming Languages: History and Fundamentals, ouvrage qui fait référence[61].
  • Drapeau des États-Unis Margaret Hamilton est directrice de la Software Engineering Division du laboratoire du MIT, qui développe le programme embarqué pour la fusée Apollo 11. En 2003, elle reçoit le prix de la NASA Exceptional Space Act, pour ses contributions scientifiques et techniques[62],[63].
  • Drapeau des États-Unis Alexandra Illmer Forsythe publie le premier manuel destiné à l'enseignement de l'informatique, Computer Science : A First Course (Wiley & Sons)[30].

1970

  • Drapeau de la Norvège Drude Berntsen est directrice de Norwegian Computing Center (en)[64].

1971

  • Drapeau des États-Unis Erna Schneider Hoover est une mathématicienne connue pour avoir inventé une méthode de commutation téléphonique informatisée. Cela a permis de développer les bases de la communication moderne[65]. Au Laboratoires Bell où elle a travaillé 32 ans, Erna Schneider Hoover est considérée comme une pionnière importante dans le domaine des sciences informatiques[66].
  • Drapeau des États-Unis Margaret Burnett est la première développeuse de logiciels à être embauchée sur un poste de direction chez Procter & Gamble, une entreprise de 13 000 personnes[réf. nécessaire].

1972

1973

1974

  • Drapeau des États-Unis Elizabeth Feinler et son équipe définissent un format de fichier en texte simple pour les noms d'hôtes[74]. Ce format a donné le Domain Name System et son équipe est devenu l'organisme qui fait autorité pour les domaines .mil, .gov, .edu, .org, .com.

1975

1976

  • Drapeau de la Hongrie Rózsa Péter publie Recursive Functions in Computer Theory, sujet sur lequel elle travaille depuis les années 1950[30].

1978

1979

  • Drapeau des États-Unis Lynn Conway publie Introduction to VLSI Systems, un ouvrage sur Very-Large-Scale Integration (VLSI) sur le design et la modélisation des circuits intégrés et la Mead & Conway revolution (en) qui s'est ensuivi[réf. nécessaire].
  • Drapeau des États-Unis Patricia Selinger (en) est une architecte IBM System R. En 1979, elle publie un article fondamental sur l'optimisation des requêtes en bases de données relationnelles. Elle est IBM Fellow en 1994 et ACM Fellow en 2009[réf. nécessaire].
  • Drapeau des États-Unis Carol Shaw est une programmeuse et designeuse de jeu pour Atari Corp. and Activision[82].
  • Drapeau des États-Unis Ruzena Bajcsy fonde le laboratoire General Robotics, Automation, Sensing and Perception (GRASP) à l'Université de Pennsylvanie[83].
  • Drapeau de l'Inde Priti Shankar (en) travaille sur le généralisateur code BCH qui permet de corriger les erreurs aléatoires[84].

1980

1982

1983

  • Drapeau des États-UnisJanese Swanson développe le jeu Carmen Sandiego. Elle fonde la Girl Tech. La Girl Tech encourage les femmes à utiliser les nouvelles technologies, Internet et les jeux video[90].

1984

1985

  • Drapeau des États-Unis Radia Perlman met au point le protocole réseau Spanning Tree Protocol. Ses recherches portent sur le chiffrement et les réseaux. Elle reçoit le USENIX Lifetime Achievement Award en 2006[95].
  • Drapeau des États-Unis Irma Wyman est la première directrice des systèmes d'information, chez Honeywell[96].
  • Drapeau des États-Unis Janet Walker (en) développe un système hypertexte Symbolics Document Examiner (en). Une des applications issues de ses recherches sont les signets des navigateurs Web[97].

1986

1987

1988

1989

1990

1992

  • Drapeau des États-Unis Donna Dubinsky (en) directrice des services numériques et cofondatrice de Palm, Inc., cofondatrice de Handspring (en), cofondatrice de Numenta, est lauréate du prix Harvard Business School's Alumni Achievement pour « avoir développé le premier assistant numérique personnel (PDA) basé sur un système de mémoire informatique inspiré du cerveau humain »[107].
  • Drapeau des États-UnisNancy Rhine et Ellen Pack fondent le premier espace destiné aux femmes Women's WIRE (en) qui devient par la suite Women.com[108],[109].
  • Drapeau des États-Unis Carol Bartz devient directrice des services numériques chez Autodesk[110].

1993

1994

  • Drapeau des États-Unis Sally Floyd est connue pour son travail sur le protocole TCP[114].
  • La première Grace Hopper Celebration of Women in Computing (en) est lancé par Anita Borg[115].
  • Le projet collaboratif d'écriture hypertexte pour femmes Hi-Pitched Voices est lancé à l'hôtel Hypertext[116].
  • Drapeau de la République populaire de Chine Le 20 avril, Hu Qiheng dirige le projet d'implémentation du protocole TCP/IP connection en Chine[117].

1995

1996

  • Drapeau des États-Unis Xiaoyuan Tu est la première récipiendaire du prix ACM Doctoral Dissertation Award[118].

1997

1998

1999

  • LinuxChix, une organisation internationale pour les femmes qui utilisent Linux et pour toutes les personnes qui soutiennent les femmes en informatique est créée par Deb Richardson (en)[123].
  • Drapeau des États-Unis Marissa Mayer, est la première ingénieure embauchée chez Google. Par la suite, elle est nommée vice-présidente Search Product and User Experience[réf. nécessaire].
  • Drapeau de la République populaire de Chine Lixia Zhang (en) introduit le terme et la notion de Middlebox (en), pour les pare-feu, les load balancers, etc.[124].
  • Drapeau des États-Unis Carly Fiorina devient présidente-directrice générale chez Hewlett-Packard[30].
  • Drapeau de la République populaire de Chine Sun Yafeng obtient un poste à la direction de Huawei Technologies[30].

XXIe siècle

Montse Maritxalar de l'université du pays basque en 2008
Montse Maritxalar de l'université du pays basque en 2008

2000

2001

2002

2003

2004

2005

2006

2007

2008

2009

2010

  • Drapeau du Ghana Farida Bedwei est cofondatrice de Logiciel Ghana Limited, une société de services et de technologies, au Ghana. Elle en est la directrice technologique[148],[149].

2011

PyLadies of Montreal at a 2015 GitHub party.
PyLadies à Montreal en 2015 lors d'une GitHub party.
  • Drapeau du Canada Ladies Learning Code est un programme pour promouvoir la technologie auprès des femmes à Toronto[150].
  • PyLadies, est une organisation internationale de femmes qui s'intéressent au code en Python. Le premier groupe est créé à Los Angeles[151].
  • Drapeau des États-Unis Meg Whitman devient présidente directrice générale de Hewlett-Packard[30].
  • Drapeau de l'Allemagne Bettina Speckmann (en) est la première lauréate du prix néerlandais pour la recherche en Technologie de l'Information et de la Télécommunication. Elle est reconnue pour son travail sur les systèmes d'information géographique[152].
  • Drapeau du Japon Noriko H. Arai dirige le programme en Intelligence artificielle à l'Université de Tokyo[126].
  • Drapeau du Kenya Shikoh Gitau est lauréate du prix Google Anita Borg. Elle est la première personne sub-saharienne à obtenir un prix Google[153].

2012

2013

2014

2015

2016

  • Drapeau de Taïwan Audrey Tang devient la ministre chargée du numérique à Taiwan[168].
  • Drapeau du Royaume-Uni Kate Devlin organise le premier sex-tech hackathon au Royaume-Uni[169].
Regina Honu avec une classe d'étudiantes apprenant à coder
Regina Honu avec une classe d'étudiantes apprenant à coder

2017

2018

2019

Bibliographie

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Références

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Voir aussi

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