Mary Adela Blagg

Cet article est une ébauche concernant une astronome britannique.

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Mary Adela Blagg
Biographie
Naissance
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CheadleVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 85 ans)
CheadleVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
britanniqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Astronome, cartographeVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Charles John Blagg (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Frances Caroline Blagg (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Royal Astronomical Society ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Fellow of the Royal Astronomical Society ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Mary Adela Blagg est une astronome et sélénographe britannique, née le à Cheadle dans le Staffordshire et morte le dans cette même localité.

Biographie

Blagg naît le à Cheadle dans le Staffordshire[1],[2]. Elle est la fille aînée de Charles John Blagg (-), un solliciteur aisé[2]. Elle fait ses études à domicile[2] puis entre dans un pensionnat à Londres[2] près de Kensington[3], où elle reçoit un enseignement d'un niveau équivalent à l'enseignement secondaire[3]. Elle ne s'inscrit pas à l'université et n'apprend pas un métier[2]. Elle s'implique dans le travail bénévole, notamment au sein de son église locale et d'une association locale, la Cheadle Girls Friendly Society[2]. Elle ne développe que tardivement un intérêt pour l'astronomie[2]. Elle suit des conférences publiques de vulgarisation données à Cheadle par Joseph Hardcastle (-)[4]. Par l'intermédiaire de celui-ci, elle rencontre Samuel Arthur Saunder (en) (-)[4]. Tous trois travaillent à mesurer la position de cratères lunaires et à standardiser leurs noms[4].

En 1916, elle devient la première femme admise à la Royal Astronomical Society.

Étoiles variables

Herbert Hall Turner acquiert un manuscrit de Joseph Baxendell (en) (-) dans lequel celui-ci a consigné les données de ses observations d'étoiles variables[5]. Rencontrant des difficultés à analyser les observations de Baxendell en raison de l'état brut des données, Turner en appelle à des volontaires qualifiés pour l'assister[6]. Blagg répond à l'appel de Turner[6]. Ensemble, ils publient, de à , dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society[7], une série de dix articles[7],[6] : les Baxendell's observations of variable stars (« Observations d'étoiles variables par Baxendell »).

Loi de Blagg

En , elle propose une formule empirique, plus précise que celle de Titius-Bode, donnant la distance moyenne approximative des planètes par rapport au Soleil[7].

La loi de Titius-Bode s'écrit a n = 0 , 4 + 0 , 3 × 2 n 1 {\displaystyle a_{n}=0,4+0,3\times 2^{n-1}} , où n {\displaystyle n} est le « rang » de la planète (-∞ pour Mercure, 1 pour Vénus, 2 pour la Terre, 3 pour Mars, 4 pour la ceinture d'astéroïdes, 5 pour Jupiter, 6 pour Saturne...) et a n {\displaystyle a_{n}} la distance entre la planète et le Soleil en unités astronomiques[7].

La loi de Blagg s'écrit[7] :

a n = A ( 1 , 7275 ) n [ B + f ( α + n β ) ] {\displaystyle a_{n}=A\left(1,7275\right)^{n}\left[B+f\left(\alpha +n\beta \right)\right]} ,

où :

  • f {\displaystyle f} est une fonction périodique[7],[8] de période 2 π {\displaystyle 2\pi } [8] ;
  • A {\displaystyle A} , B {\displaystyle B} , α {\displaystyle \alpha } et β {\displaystyle \beta } sont quatre constantes qui caractérisent, de façon approchée, le Système solaire[7], avec :
    • A {\displaystyle A} et B {\displaystyle B} , deux constantes numériques[8],[9] positives[9] ;
    • α {\displaystyle \alpha } et β {\displaystyle \beta } , deux constantes angulaires[8],[9].
  • n {\displaystyle n} est[Quoi ?]

La loi de Blagg est la première reformulation de la loi de Titus-Bode qui permet d'en étendre l'emploi aux trois systèmes secondaires[pas clair] du Système solaire[9].

Membre de la Royal Astronomical Society

En , l'assemblée générale annuelle de la Royal Astronomical Society approuve l'admission des femmes comme membres (fellows) et associées (associates) de la société[10]. Une demande (petition) est adressée au roi George V afin qu'il délivre la charte nécessaire[10]. Le roi accepte[10].

En , Blagg fait partie des cinq premières femmes élues, le , membres de la Royal Astronomical Society[11],[12],[N 1].

Membre de la commission lunaire de l'Union astronomique internationale

En , Blagg publie une liste des formations lunaires qu'elle a établie à partir des cartes de Johann Heinrich von Mädler (-), Johann Friedrich Julius Schmidt (-) et Edmund Neison (-)[14].

En , Samuel Arthur Saunder (en) attire l'attention sur l'état insatisfaisant de la nomenclature lunaire et propose la création d'un comité international chargé de la standardiser[15]. En , à Vienne, l'Association internationale des académies (en) crée le comité et en nomme les membres, à savoir, outre Saunder : Maurice Lœwy, président ; Herbert Hall Turner, secrétaire ; ainsi que Julius Heinrich Franz, Simon Newcomb et Edmund Weiss[15]. Par la suite, les membres décédés du comité sont remplacés par Guillaume Bigourdan (-), Edward Charles Pickering (-) et Pierre Puiseux (-)[15]. Le comité travaille « avec l'aide inestimable » de Blagg[15].

À la suite de la création, en , de l'Union astronomique internationale (UAI), le comité se perpétue : il devient la commission 17 « Nomenclature lunaire » de l'UAI que celle-ci charge de standardiser la nomenclature lunaire[15]. Dès , Blagg devient officiellement une des cinq membres de cette commission[15] que Herbert Hall Turner (-) préside[14] ; ses trois autres membres sont Bigourdan, Pickering et Puiseux[14].

En , à Leyde, dans le cadre de la IIIe Assemblée générale de l'UAI, Blagg soumet à la commission deux listes de noms que la commission adopte[16]. La première des deux listes se compose de 412 noms sur lesquels Mädler, Schmidt et Neison s'accordent[16] ; la seconde, de 95 autres noms généralement acceptés[16]. Ernest William Brown (-) est élu nouveau président de la commission[16]. Un sous-comité, dont Blagg et Karl Müller (en) (-) sont les deux membres, est créé et chargé de préparer la liste définitive des noms qui sera soumise à la commission dans le cadre de la prochaine assemblée générale[16].

En , la IVe Assemblée générale de l'UAI adopte la nomenclature ; celle-ci consiste en la liste des noms des formations lunaires, préalablement établie par Blagg puis amendée ; une subvention de 5 000 francs-or est accordée pour son impression[17].

Leurs travaux vont donner lieu à l'édition de deux volumes en 1935 intitulés Named Lunar Formations qui vont devenir une référence dans le domaine.

Sur la proposition de Félix Chemla Lamèch (-), supportée par Frank Watson Dyson (-), nouveau président de la commission, afin de récompenser Blagg et Müller de leurs travaux, deux formations lunaires — les cratères Blagg[18] et Müller[19] — reçoivent leurs noms respectifs[20].

En , à Berkeley, la XIe Assemblée générale de l'UAI confirmera la nomenclature lunaire résultant du Named Lunar Formations, revue et corrigée par la table III du Photographic Lunar Atlas édité par Gerard Kuiper (-) l'année précédente[21].

Décès

Les huit dernières années de sa vie, Blagg souffre de problèmes cardiaques[22],[1]. Elle meurt le [22],[1] à son domicile, au lieu-dit High Bank, à Cheadle[23].

Divers

Blagg est passionnée de jeu d'échecs[24] dont elle devient une experte[25]. Elle traduit de la poésie allemande en vers anglais[24]. Elle est l'autrice d'histoires pour enfants, dont quatre ont été publiées localement[24],[26]. Jusqu'à sa mort, elle est responsable de la rédaction de Literary links, un magazine manuscrit[24].

Pendant la Première Guerre mondiale, elle réduit ses travaux scientifiques[27] afin de s'occuper d'enfants réfugiés belges, évacués à Cheadle[2].

Blagg travaille principalement à son domicile et par correspondance[28]. Bien qu'elle soit un membre actif de l'Union astronomique internationale ne participe qu'à deux de ses assemblées générales[28] : la première fois en , à la IIe qui se tient à Cambridge au Royaume-Uni[28] ; la seconde en , à la IIIe qui se tient à Leyde aux Pays-Bas[28].

Blagg ne s'est jamais mariée[29],[22].

Hommages

Mary Adela Blagg est depuis [30],[31],[32] l'éponyme[30],[31],[32],[33] du cratère Blagg qui un cratère d'impact[34],[35] situé dans le Sinus Medii[35] sur la face visible de la Lune. Blagg a ainsi été honorée de son vivant[29] et sur la proposition de Félix Chemla Lamèch (-)[36]. Blagg est ainsi une des dix première femmes en l'honneur desquelles des cratère lunaires ont été nommés[32],[N 2]

En , dans le cadre des célébrations de passage au IIIe millénaire, Cheadle, sa ville natale, l'honore en érigeant, à sa mémoire, une sphère armillaire conçue et fabriquée par James Plant, un forgeron, membre honoraire de la British Astronomical Association[37].

En , 2000 EO177, un petit corps du Système solaire, est nommé (50753) Maryblagg en son honneur[38].

Publications

  • (en) « On a suggested substitute for Bode's law », MNRAS, vol. 73, no 6,‎ , p. 414-422 (OCLC 6911221478, DOI 10.1093/mnras/73.6.414, Bibcode 1913MNRAS..73..414B, lire en ligne Accès libre [PDF]).

Étoiles variables

Baxendell's observations of variable stars

  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : [first instalment] : no 1, R Arietis », MNRAS, vol. 73, no 2,‎ , p. 124-136 (OCLC 6911228343, DOI 10.1093/mnras/73.2.124, Bibcode 1912MNRAS..73..124T, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : [second instalment] : no 2, R Bootis ; no 3, R Cancri ; no 4, R Coronæ ; [and] no 5, S Coronæ ; with a correction to no 1, R Arietis », MNRAS, vol. 74, no 5,‎ , p. 451-482 (OCLC 6911061844, DOI 10.1093/mnras/74.5.451, Bibcode 1914MNRAS..74..451T, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : third instalment : no 6, U Cygni ; no 7, R Delphini ; no 8, S Delphini ; [and] no 9, T Delphini », MNRAS, vol. 74, no 7,‎ , p. 568-600 (OCLC 6911095823, DOI 10.1093/mnras/74.7.568, Bibcode 1914MNRAS..74..568T, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : fourth instalment : no 10, S Geminorum ; no 11, R Herculis ; [and] no 12, S Herculis », MNRAS, vol. 75, no 5,‎ , p. 398-425 (OCLC 6911069647, DOI 10.1093/mnras/75.5.398a, Bibcode 1915MNRAS..75..398T, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : fifth instalment : no 13, T Herculis ; no 14, R Leonis ; [and] no 15, S Orionis », MNRAS, vol. 76, no 2,‎ , p. 158-190 (OCLC 6911067852, DOI 10.1093/mnras/76.2.158, Bibcode 1915MNRAS..76..158., lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : sixth instalment : no 13, T Herculis, revised ; and no 16, R Persei », MNRAS, vol. 76, no 6,‎ , p. 469-493 (OCLC 6911238770, DOI 10.1093/mnras/76.6.469, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : seventh instalment : no 17, R Sagittæ ; no 18, R Serpentis ; [and] no 19, T Serpentis », MNRAS, vol. 76, no 8,‎ , p. 659-697 (OCLC 6911229398, DOI 10.1093/mnras/76.8.659, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : eighth instalment : no 20, T Tauri ; no 21, R Ursæ Majoris ; [and] no 22, S Ursæ Majoris », MNRAS, vol. 77, no 2,‎ , p. 125-140 (OCLC 6911105375, DOI 10.1093/mnras/77.2.125, Bibcode 1916MNRAS..77..125B, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : ninth instalment : no 23, S Vulpeculæ ; and no 24, S Aquilæ ; with notes on no 13, T Herculis ; and no 18, R Serpentis », MNRAS, vol. 77, no 7,‎ , p. 555-578 (OCLC 6911066233, DOI 10.1093/mnras/77.7.555, Bibcode 1917MNRAS..77..555B, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Baxendell's observations of variable stars : tenth instalment : no 25, U Boötis ; no 26, U Canis Minoris ; no 27, χ Cygni ; no 28, U Herculis ; [and] no 29, R Scuti », MNRAS, vol. 78, no 7,‎ , p. 491-541 (OCLC 6911066234, DOI 10.1093/mnras/78.7.491, Bibcode 1918MNRAS..78..491T, lire en ligne Accès libre [PDF]).

W Cygni

  • (en) « The long-period variable W Cygni », MNRAS, vol. 80, no 1,‎ , p. 41-64 (OCLC 6911072372, DOI 10.1093/mnras/80.1.41, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Second note on the long-period variable W Cygni : observations by E. F. Sawyer, - », MNRAS, vol. 81, no 2,‎ , p. 144-150 (OCLC 6911097309, DOI 10.1093/mnras/81.2.144, lire en ligne Accès libre [PDF]).

Beta Lyrae

  • (en) « Baxendell's observations of β Lyræ », MNRAS, vol. 84, no 8,‎ , p. 629-660 (OCLC 6911223467, DOI 10.1093/mnras/84.8.629, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Observations of β Lyræ by members of the BAA, - », MNRAS, vol. 85, no 5,‎ , p. 484-496 (OCLC 6911065824, DOI 10.1093/mnras/85.5.484, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Discussion of some further observations of β Lyræ », MNRAS, vol. 88, no 3,‎ , p. 162-175 (OCLC 6911069920, DOI 10.1093/mnras/88.3.162, lire en ligne Accès libre [PDF]).

Discussion of observations of three long-period variables

  • (en) « Discussion of observations of three long-period variables made by A. N. Brown : no 1, RT Cygni,  », MNRAS, vol. 89, no 8,‎ , p. 687-697 (OCLC 6911229611, DOI 10.1093/mnras/89.8.687, Bibcode 1929MNRAS..89..687B, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Discussion of observations of three long-period variables made by A. N. Brown : no 2, V Cas[siopeiæ], january », MNRAS, vol. 90, no 5,‎ , p. 552-560 (OCLC 6911065005, DOI 10.1093/mnras/90.5.552, Bibcode 1930MNRAS..90..552B, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) « Discussion of observations of three long-period variables made by A. N. Brown : no 3, U Persei, september – march », MNRAS, vol. 91, no 2,‎ , p. 231-238 (OCLC 6911062433, DOI 10.1093/mnras/91.2.231, Bibcode 1930MNRAS..91..231B, lire en ligne Accès libre [PDF]).

Sélénographie

  • (en) Collated list of lunar formations named or lettered in the maps of Neison, Schmidt, and Mädler, Edinbourg, Neill, , VIII-182 p. (OCLC 6593365, SUDOC 022800727, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • (en) Named lunar formations, Londres, Percy Lund Humphries, (OCLC 758267768, SUDOC 018334709) :
    • (en) op. cit., t. Ier : Catalogue, XI-196 p., 18 × 27 cm (OCLC 31417101, SUDOC 022381023, lire en ligne Accès libre [PDF]) ;
    • (en) op. cit., t. II : Maps, 36 × 36 cm.

Notes et références

Notes

  1. Les quatre autres femmes élues le sont : Ella K. Church, A. Grace Cook, Irene Elizabeth Toye Warner et Fiammetta Wilson[11],[12]. La même année, six autres femmes sont ultérieurement élues[11] : Francisca Herschel, Annie Maunder, Margaret Meyer, Mary Proctor, Salie Duffield Proctor-Smyth et Kathleen Robson[11],[13].
  2. Sur les 567 cratères lunaires dont le nom a été adapté en , seuls dix d'entre eux (soit 1,76 %) ont été nommés en l'honneur d'une femme[32]. Les neuf autres sont les cratères Hypatia, Catharina, Lepaute, C. Herschel, Sheepshanks (en), Bruce, Mitchell (en), Maury (en) et Proctor (en).

Références

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  2. a b c d e f g et h Shears 2016, p. 5.17, col. 1.
  3. a et b Altschuler et Ballesteros 2019, partie principale, chap. 16, p. 167.
  4. a b et c Shears 2016, p. 5.17, col. 2.
  5. Ogilvie 1986, p. 41, col. 1-2.
  6. a b et c Ogilvie 1986, p. 41, col. 2.
  7. a b c d e f et g Crépieux 2023, p. 38.
  8. a b c et d Lobban, Roy et Brown 1982, p. 260, col. 1.
  9. a b c et d Nieto 1972, p. 30.
  10. a b et c Hills 1915, p. 221.
  11. a b c et d Bowler 2016, p. 4.18, col. 1.
  12. a et b Sampson 1916, p. 195.
  13. Crépieux 2023, p. 39.
  14. a b et c Dyson 1935, introduction, p. III.
  15. a b c d e et f Turner 1928, p. 111.
  16. a b c d et e Dyson 1935, introduction, p. IV.
  17. UAI 1932, commission 17 (« nomenclature lunaire »), résolution *I, p. 7.
  18. Blagg et Müller 1935, no 855, p. 33.
  19. Blagg et Müller 1935, no 3618, p. 143.
  20. Dyson 1935, introduction, p. V.
  21. UAI 1961, commission 16 (« étude physique des planètes et des satellites »), résolution no 2, p. 18.
  22. a b et c Hoonaard 2016, p. 79.
  23. Cawley et Gratton 2018.
  24. a b c et d TNA.
  25. Altschuler et Ballesteros 2019, partie principale, chap. 16, p. 167, n. 1.
  26. Errington et Robinson 2022, no 11, p. 7.
  27. Altschuler et Ballesteros 2019, partie principale, chap. 16, p. 170.
  28. a b c et d Altschuler et Ballesteros 2019, partie principale, chap. 16, p. 171.
  29. a et b Bartels 2016.
  30. a et b GPN, s.v. Blagg.
  31. a et b Altschuler et Ballesteros 2019, partie principale, introduction, table, s.v. Blagg, p. 47.
  32. a b c et d Altschuler et Ballesteros 2019, conclusion (« post text »), p. 281.
  33. Cocks et Cocks 1995, s.v. Blagg, p. 45, col. 1.
  34. DeBakcsy 2023, p. 74.
  35. a et b Portree 2019.
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  37. Shears 2016, p. 5.18, col. 3.
  38. WGSBN 2023.

Voir aussi

Bibliographie

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  • [Bowler 2016] (en) Sue Bowler, « Observers, writers, teachers... », Astronomy & Geophysics, vol. 57, no 4,‎ , p. 4.18-4.19 (OCLC 6758936675, DOI 10.1093/astrogeo/atw147, résumé, lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • [Cawley et Gratton 2018] Bill Cawley et Adam Gratton, « Moon mapping scientist, Mary Blagg, is honoured with a plaque in her hometown of Cheadle », The Sentinel,‎ (lire en ligne Accès libre).
  • [Errington et Robinson 2022] (en) Philip W. Errington et Theodora Robinson (éd.), Children's books & original artwork, Londres, Peter Harrington, coll. « Catalogues » (no 183), , 1re éd., 97 p. (lire en ligne Accès libre [PDF]).
  • [Hills 1915] (en) E. H. Hills, « Annual general meeting », MNRAS, vol. 75, no 4,‎ , p. 221-222 (DOI 10.1093/mnras/75.4.221, lire en ligne Accès libre [PDF]).
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Dictionnaires et encyclopédies

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  • [Ogilvie 1986] (en) Marilyn Bailey Ogilvie, Women in science : antiquity through the nineteenth century : a biographical dictionary with annotated bibliography, Cambridge et Londres, MIT, hors coll., (réimpr. ), 1re éd., XI-254 p., 17,8 × 25,4 cm (ISBN 0-262-15031-X et 0-262-65038-X, EAN 9780262150316, OCLC 13457002, BNF 37357706, S2CID 141532204, SUDOC 029648637, présentation en ligne, lire en ligne), s.v. Blagg, Mary Adela, p. 41.

Notices biographiques

  • [Altschuler et Ballesteros 2019] (en) Daniel R. Altschuler et Fernando J. Ballesteros, The women of the Moon : tales of science, love, sorrow, and courage, Oxford, OUP, hors coll., , 1re éd., X-299 p., 13,8 × 21,6 cm (ISBN 978-0-19-884441-9, EAN 9780198844419, OCLC 1134666678, BNF 46527431, DOI 10.1093/oso/9780198844419.001.0001, S2CID 199198294, SUDOC 236107712, présentation en ligne, lire en ligne), partie principale (« Women of the Moon »), chap. 16 (« Mary Adela Blagg (-) »), p. 167-172.
  • [Brück 2009] (en) Mary Brück (préf. Allan Chapman), Women in early British and Irish astronomy : stars and satellites, Dordrecht, Springer, hors coll., (réimpr. ), 1re éd., XVII-277 p., 15,5 × 23,4 cm (ISBN 978-90-481-2472-5 et 978-94-007-7992-1, EAN 9789048124725, OCLC 690500644, DOI 10.1007/978-90-481-2473-2, Bibcode 2009webi.book.....B, S2CID 129827873, SUDOC 138520569, présentation en ligne, lire en ligne), chap. 16 (« Mapping the Moon »), p. 249-255.
  • [DeBakcsy 2023] (en) Dale DeBakcsy, A history of women in astronomy and space exploration : exploring the trailblazers of STEM, Barnsley et Havertown, Pen and Sword, coll. « History », , 1re éd., XII-227 p., 15,9 × 22,9 cm (ISBN 978-1-39904-532-2, EAN 9781399045322, OCLC 1369291933, SUDOC 269811621, présentation en ligne, lire en ligne), chap. 13 (« Brief portraits : the great nineteenth-century explosion »), s.v. Mary Adela Blagg (-), p. 73-74.
  • [Hoonaard 2016] (en) Will C. van den Hoonaard, « Moonstruck : cartographic explorations of the Moon by Mary Adela Blagg and Kira B. Shingareva », Terrae Incognitae, vol. 48, no 1,‎ , p. 76-86 (OCLC 8678440945, DOI 10.1080/00822884.2016.1147254, résumé).
  • [Shears 2016] (en) Jeremy Shears, « Selenography and variable stars », Astronomy & Geophysics, vol. 57, no 5,‎ , p. 5.17-5.18 (OCLC 7213372163, DOI 10.1093/astrogeo/atw179, résumé, lire en ligne Accès libre [PDF]).

Notices nécrologiques

  • [Ryves 1945] (en) P. M. Ryves, « Mary Adela Blagg », MNRAS, vol. 105, no 2,‎ , p. 65-66 (OCLC 6911235935, DOI 10.1093/mnras/105.2.65a, Bibcode 1945MNRAS.105Q..65., lire en ligne Accès libre [PDF]).

Hommages

  • [Cocks et Cocks 1995] (en) Elijah E. Cocks et Josiah C. Cocks, Who's who on the Moon : a biographical dictionary of lunar nomenclature, Greensboro, Tudor, hors coll., , 1re éd., IX-600 p., 15,2 × 22,9 cm (ISBN 0-936389-27-3, EAN 9780936389271, OCLC 491533975, S2CID 129833931, SUDOC 069099286, lire en ligne Accès limité [PDF]).
  • [GPN] (en) « Blagg », Gazetteer of Planetary Nomenclature,‎ (lire en ligne Accès libre).
  • [WGSBN 2023] (en) WGSBN Bulletin, vol. 3, no 4, (lire en ligne Accès libre [PDF]), s.v. (50753) Maryblagg = 2000 EO177.
  • [Portree 2019] (en) David Portree, « Order from chaos – Blagg crater », LROC Post,‎ (lire en ligne Accès libre).

Liens externes

Union astronomique internationale

  • [UAI 1932] IVe Assemblée générale (Cambridge, Massachusetts, États-Unis, ), résolutions adaptées Accès libre [PDF].
  • [UAI 1961] XIe Assemblée générale (Berkeley, Californie, États-Unis, ), résolutions adoptées Accès libre [PDF].

Archives

  • [TNA] (en) « Autograph letter collection : scholars & learned ladies » Accès libre, University of London (UoL), London School of Economics (LSE) and Political Science, The Women's Library (TWL), Kew, The National Archives (TNA), s.v. Mary Adela Blagg (-).

Autres

  • Ressource relative à l'astronomieVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Biographical Encyclopedia of Astronomers
  • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généralisteVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Oxford Dictionary of National Biography
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
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